Le conseiller fédéral avait pourtant longtemps refuser tout compromis. Mais sous la forte pression allemande, il fait cette proposition, déclenchant l’ire de ses collègues du Conseil Fédéral. Certains politiques s’étonnent des déclarations de Mr Mertz, arguant qu’une « stratégie se prépare en secret, entre peu de personne« , et que c’est un peu délicat d’énoncer sa stratégie avant même l’ouverture de négociations.
Les milieux financiers ne sont pas tendres non plus. Pour eux, l’échange automatique d’informations n’est pas une option. En effet les banquiers préfèrent un impôt prélevé sur la fortune et les revenus des clients étrangers et réservé de manière anonyme à leur pays. Mais l’Allemagne et l’Italie ont décliné l’offre.